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#Jeannebavarde : Ma passion, les boucles d’oreilles

C’est une passion qui me vient de très loin! Déjà petite, je n’avais qu’une envie, avoir les oreilles percées. Ma mère (en bonne maman) retardait le perçage le plus possible pour m’éviter la moindre douleur… Ni tenant plus, je suis passée à l’offensive, la menaçant si elle ne me donnait pas l’autorisation… de me les percer moi-même avec …… une fourchette 😊

Un beau jour (le jour de mon anniversaire), elle m’a fait la surprise de m’emmener chez le bijoutier pour percer mes petites oreilles et choisir mon cadeau! …. des boucles d’oreilles en or 😮

C’était le JOUR, j’étais aux anges ! Ce que je désirais le plus m’arrivait 🙂

Maintenant, vous comprenez pourquoi, souvent, je confectionne des boucles d’oreilles dans les Tutoriels que je vous propose 😉

Boucles d’oreilles tutoriel à revoir ICI

Que choisir? Créoles, puces, dormeuses, crochets, le choix est cornélien tant il y a de modèles. J’avoue que j’ai un petit faible pour les créoles.

Créoles et perles verre tutoriel à revoir ICI

Et comme j’aime changer souvent au gré de mes envies ou pour accorder à mes vêtements, je réalise mes boucles d’oreilles.

Créoles pompons colorés et perles assorties

C’est le bijou que je n’oublie pas de porter tous les jours! Certaines mettent leur rouge à lèvres. Mon rouge à lèvres, c’est la parure à mes oreilles!

Puisque nous sommes entre filles, je me permets de vous donner quelques conseils pour vos bijoux fantaisie. Savez vous qu’un bijou fantaisie, boucles d’oreille, bracelet, collier ne doit pas être porté 24h/24. Vous devez les retirer avant de vous coucher. Vous éviterez de vous blesser, de les casser ou de vous accrocher avec les draps et/ou vos cheveux.

Puis, ne prenez pas la douche avec, n’allez pas à la mer avec non plus!

Vous devez prendre soin de vos bijoux fantaisie, les ranger à l’abri de la lumière et de l’humidité. Pensez à les nettoyer avant de les porter pour ce faire utilisez un aseptisant. Petit plus, si vous êtes allergique comme moi à certains métaux, je crois entendre vos revendications : sans plomb et sans nickel ! Je vous donne ma petite astuce, passer du vernis incolore sur la face cachée en contact avec l’oreille. Parce que j’ai des réactions si je ne prends pas toutes ces précautions même pour les bijoux sans nickel et sans plomb.

Boucles d’oreilles pompons vieux rose à revoir ICI

Les pompons suédine font partie intégrante des boucles d’oreilles que je crée.

Boucles d’oreilles dreamcatcher à revoir ICI

Les couleurs appellent le Printemps

Boucles d’oreilles à revoir ICI

Alors si comme moi, vous aimez porter des boucles d’oreilles en guise d’accessoires fétiches et que vous êtes à la recherche de nouveaux modèles. Ne vous en privez pas, faites vous plaisir à petits prix en réalisant vos bijoux 😉

Notre petite discussion boucles d’oreille se termine, je vous donne rendez vous pour un nouveau rendez vous la semaine prochaine! Passez une super agréable semaine 😘

Vous êtes à la recherche de matériel pour vos bijoux, deux boutiques à votre disposition ICI et LA

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#JeanneBavarde : Pourquoi Jeanne ?

Mon ami blogueuse EM a écrit un très joli article #RDVdesmots- Le fond de mon identité qui m’a captivé et m’a laissé réfléchir sur ma propre identité…. Je vous invite à prendre connaissance de son article en cliquant ICI

Once upon a time…..

Je me dévoile un peu dans cet article… Je viens de traverser ce que j’appelle une zone de turbulence en l’espace de 18 mois. Mes deux parents m’ont, ou plutôt nous on quitté, mon frère et moi. Il n’étaient plus tous jeunes… En lisant l’article d’EM qui est tombé pile à cette période là, cela m’amène à me recentrer sur moi même et mes racines. Loin de moi, l’idée de faire pleurer dans les chaumières.

Il y a quelque temps grâce ou à cause de l’article de Var Matin, je vous dévoilais notre histoire de famille mère-fille qui était à la base de Jeanne s’amuse. Vous pouvez relire l’article en cliquant ICI

Dans son Rendez vous des mots, EM explique « pourquoi garder l’anonymat ». Vous remarquez que je parle de ma Provence. Mon nom, vous le connaissez ou pouvez le connaître mais mon image, ma photo, vous n’en trouvez pas ou peu, très peu.

Jeanne s’amuse

Je préfère laisser la vedette à Jeanne s’amuse. Le blog et la boutique sont une identité à eux seuls. Nous, Elodie ou Elisabeth, nous passons…. Ne croyez pas que cela ne me plait pas de vous côtoyer. Au contraire, tous les jours j’apprécie vos gentilles remarques, vos petits mots, commentaires, retour sur commande. Vous êtes « super »!

Comme je vous le disais un peu plus haut, je me recentre sur mes origines et j’ouvre par là même une autre porte. Cela nous amène au choix du nom de la boutique « Jeanne s’amuse ». S’amuse, parce que si vous avez lu le précédent article sur Jeanne s’amuse Tout est venu de l’idée d’une petite fille qui aimait jouer avec les perles….

Quand au prénom Jeanne, là encore c’est une histoire de famille qui rend hommage à des personnes chères à notre cœur et qui ont disparues trop vite.

Mais Jeanne papote, Jeanne bavarde, vous connaissez maintenant la raison du choix de cet entête du blog et de la boutique. Pour un blog, on détermine souvent, très souvent le nom des personnes qui le suivent. Exemple pris sur le blog de EM intitulé « Un brin de maman » parce qu’il parle aux mamans que nous sommes. Nous lectrices, nous sommes les brindilles.

Pour Jeanne s’amuse que choisir? J’ai vraiment besoin de votre avis, de vos conseils. Une idée les Jeannettes Trouvez vous cela Bof ? Avez vous une autre suggestion à me proposer?

J’espère ne pas vous avoir trop ennuyé(e)s avec mes réflexions. Je vous remercie d’avoir lu jusqu’au bout mon article et je vous propose de nous rencontrez à nouveau la semaine prochaine 🙂

A bientôt

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#Jeanne bavarde : Petite histoire sur Jeanne s’amuse

Aujourd’hui, notre rendez vous hebdomadaire est un peu différent. Je ne vais pas vous faire un tutoriel mais vous parlez d’une rencontre via le formulaire de contact du blog. Quoi de mieux que cette rubrique pour vous expliquer la jolie surprise qui m’attendait. Le 05 Décembre 2018, par la messagerie de contact du blog, j’ouvre un mail et le relis à deux fois. Karine Michel journaliste à Var matin se présente et m’explique qu’elle désire écrire un article sur Jeanne s’amuse dans le supplément du samedi, le magazine #nous 

Interloquée et ne sachant pas à quelle sauce, je vais être « mangée » c’est avec appréhension que je la rappelle. Notre premier contact téléphonique s’est très bien déroulé et la journaliste, professionnelle, a pris le temps de m’expliquer le contenu de ce magazine. Var matin et Nice matin ont sorti ce nouveau supplément du Samedi pour parler des personnes qui vivent et font vivre le territoire qu’ils couvrent, le Var et les Alpes Maritimes. Ceux sont des histoires de personnes au travers de leur association, leur passion, leur métier qu’ils ou elles soient peintre, agriculteur, entrepreneur ou entrepreneuse. En somme des gens comme vous et moi. J’ai trouvé l’idée très sympa : mettre à l’honneur toute ces personnes qui peuplent nos territoires.

Nous convenons ensemble d’un second rendez vous pour parler de la naissance de Jeanne s’amuse, une histoire de famille « système D » et de son parcours. Sur la page d’accueil du blog, vous pouvez lire que celle qui est à l’origine de l’existence de Jeanne s’amuse a fait des études de droit…. je vous laisse lire l’article ci-dessous en photo

Oui, dans la famille, nous aimons créer, customiser, transformer mais surtout récupérer. Journellement, nous utilisons le DIY et le UPCYCLING, deux termes tendance… qui actuellement sont dans la tête de tout un chacun. Récupération, recyclage et éviter la surconsommation. Nous faisons très souvent par nous même. Je n’irais pas jusqu’à dire que nous sommes écologistes convaincus mais notre démarche se veut respectueuse.

La boutique a été crée en Mai 2014 sur a little mercerie puis je (Elisabeth) suis venu prendre le relais complètement à partir du troisième trimestre 2016 pour vous parler encore aujourd’hui. Elodie à quitté la petite aventure retenue par ses nouvelles fonctions mais le Do it yourself à ses heures perdues (si toutefois elle en a) ne la jamais quitté. Mère et fille , nous sommes toujours en symbiose grâce à cette passion.

Mon bureau n’est pas rangé dans un ordre impeccable mais c’est parce que je fais 10 000 choses à la fois et ma foi, j’ai de l’ordre et de l’organisation dans mon désordre… Là encore, do it yourself, le bureau est fait maison.

Jeanne s’amuse continue son chemin de boutique… et moi, je prends plaisir chaque mercredi à venir, à votre rencontre et découvrir avec vous de nouvelles idées simples de décoration intérieure, de bijoux fantaisie, etc…. Bref, mes bidouillages comme j’aime les appeler.

Merci d’être encore présent(e)s et de suivre notre aventure 💖 L’idée d’une petite fille qui jouait avec des perles et qui depuis a bien grandit….. (ma fille)

Je vous dis simplement et humblement : A la semaine prochaine 🙂

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#Jeannebavarde : DIY XXL dans les rues de Carcès

Aujourd’hui, je ne vais pas vous parler de mes Tutoriels à réaliser mais d’une création à grande échelle dans mon village Carcès en Provence Verte, au cœur du Var!

Tout le monde parle de DIY dans le petit monde des loisirs créatifs mais derrière cette appellation, qu’est ce qui se cache? DIY est l’abréviation de Dot it yourself. Si on le traduit en Français, c’est « Fais le toi même ». Le DIY est un état d’esprit, une philosophie de vie. Cette philosophie, une poignée de bénévoles, au départ, a voulu l’appliquer pour créer un défilé carnavalesque.

« Once upon a time »….à partir de 1981, on assistait tous les ans au défilé carnavalesque qui rassemblait d’une année sur l’autre un nombre important de bénévoles pour réaliser fleurs en papier, chars, etc… Puis la belle aventure s’est arrêtée. L’année dernière, c’est pourquoi j’ai cité plus haut « une poignée de bénévoles » ont eu l’envie de faire revivre à nouveau cet événement annuel.

Et de « fils en aiguilles », la machine s’est remise en marche! Un grand nombre de bénévoles, d’associations ont relevé le défi! Ce n’était pas gagné!

Dimanche 14 Avril, nous avons eu l’immense plaisir d’admirer leur dévouement. Cet après midi, là, fût un moment de fêtes pour petits et grands. Au moment ou j’écris, j’ai ma petite larme qui pointe au coin de l’œil. C’est beaucoup d’émotion de voir revivre ce moment précieux !

Même les spectateurs étaient conviés à se déguiser pour ce divertissement public, se masquer ou se maquiller.

Nous allons voir ou revoir le déroulement de cette belle après midi en photos.

Les clowns ouvrent la danse en dispersant confettis et serpentins.

Une nuée de petites abeilles précèdent leur reine (du Carnaval)

 

Et voila la reine!

 

Des grosses têtes, des animaux étranges défilent.

Nous avons eu, même, une compagnie de majorettes (hommes) avec leurs « gambettes »

Un éléphant, cela trompe énormément mais celui ci est magnifique avec ses couleurs!

Un défilé haut en couleurs!

L’association de pêche exhibe fièrement sa belle prise!

 

Les costumes Provençaux ne pouvaient qu’être de la fête!

Un sport incontournable dans notre région, la pétanque!

 

Quand DIY rime avec Upcycling!

 

Une envolée de bulles pour nous divertir.

 

Masques et déguisements défilent.

 

Pour clôturer le défilé et ouvrir le bal, on brûle « Caramantran » mannequin bariolé que l’on fabrique pendant la période de carnaval, (tradition Provençale).

 

L’après midi se termine par un rassemblement organisé par l’association du Carnaval de Carcès. La parade a été pleine de couleurs. Je n’ai pu vous montrer toutes les photos prises lors de la manifestation. Je vous les proposerais dans un autre #Jeannebavarde.  La musique résonnait dans les rues avec les différentes fanfares et plus de 1 500 personnes se sont déplacées pour venir apprécier cette après midi festive.

Un énorme Merci à tous les bénévoles qui nous ont offert un après midi de rires et de bonheur.

 

Mon #Jeannebavarde est terminé et j’espère vous avoir diverti avec la démonstration que le DIY peut être aussi dans notre vie. Je vous donne rendez vous pour un prochain billet mercredi prochain!

 

Vous pouvez retrouver les actualités sur la page Facebook

Jeanne s’amuse est sur Etsy  et sur Un grand Marché

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#Jeanne bavarde : Décoration murale

Bonjour à tou(te)s !

Aujourd’hui, je me lance dans la déco d’un tableau suspendu. Un ami m’a offert une vue dessinée de mon cher village Carcès

Je vais lui confectionner un cadre en bois mais je ne vais pas m’arrêter là . Je vais le customiser. lui donner un petit côté « Shabby« .

La décoration murale joue un rôle très important lorsqu’il s’agit de personnaliser son intérieur. Pour conférer d’avantage de charme à mon beau souvenir quoi de plus naturel qu’un beau cadre pour le sublimer. Je vous dévoile dans ce nouveau billet, mes idées créatives pour fabriquer un cadre tableau ou un cadre photo original,un nouveau DIY pour habiller les murs.

Mon « bricoleur préféré » m’a découpé dans du bois un cadre rond pour son côté vintage. J’ai peint le cadre en bois avec une couleur gris clair. J’ai découpé aux dimensions du cadre intérieur mon dessin.

 

Puis, avec un plaque fine de bois (ou un carton épais), j’ai confectionné l’arrière de mon cadre en le fixant avec des chevilles pour le maintenir.

 

Etape suivante, je choisis de la dentelle coton écrue pour confectionner des nœuds.

 

Je colle mes nœuds de dentelle sur le haut de mon cadre photo

 

Je prends 4 boutons papillon en bois et les colle en bas du cadre 2 par 2 de chaque côté.

 

Pour orner le milieu de mes nœuds en dentelle, je colle deux perles vert vintage en forme de cœur.

 

Je découpe deux morceaux de dentelle coton blanc, cette fois, pour agrémenter l’intérieur du cadre sur le dessin en bas et en haut.

 

J’ai découvert dans mon atelier des boutons étoiles en bois nature. J’ai décidé de les disposer de chaque côté dans la partie haute du cadre rond.

 

Puis, j’ai découpé un ruban satin beige ivoire pour former à nouveau une jolie ganse. En son centre j’ai collé une perle bois dorée en forme de cœur

Une fois, tous ces éléments collés et disposés sur mon cadre, j’ai pris du recul pour avoir une vue d’ensemble.

 

 

A mon goût, il manque de la décoration. Je me mets en quête de nouveaux petits ornements. C’est tout trouvé : des petits nœuds satin à répartir de part et d’autre de mon cadre.

 

Cette fois, la décoration est finie! Je suis satisfaite de mon travail ou presque…. L’image n’est pas déportée. Sur la droite apparaît l’esquisse d’un mur dessiné.  Je vous laisse voir le résultat 😊

 

Au départ, je voulais le pendre dans le salon mais une fois terminé, mon idée a changé. Il ira très bien dans la chambre 😏 Qu’en pensez vous ?

 

Je vous donne rendez vous la semaine prochaine. Je vais changer de registre, sortir de la Déco pour confectionner des petits accessoires colorés pour appeler le beau temps 😊

 

Tous les jours, vous retrouvez Jeanne s’amuse sur sa page Facebook

 

Les accessoires déco de ce Jeanne bavarde sont disponibles sur ma e-boutique.

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#Jeanne Bavarde : Anti-mites fait maison

Bonjour à tou(te)s !

Quel plaisir, à nouveau d’être avec vous! Dans ce billet, je vais vous parler d’une de mes astuces pour parfumer mes armoires et chasser les insectes indésirables.

Par une belle journée hivernale de ce mois de Janvier, l’envie m’a pris de faire une balade vivifiante par ce froid, dans les sous bois. Il faut dire que notre village Carcès est entouré de vignes et de collines et les promenades ne manquent pas. Ce n’est pas pour rien que notre petit coin à l’intérieur du Var s’appelle La Provence Verte

Nos collines sont peuplées de pins, de chênes verts mais aussi d’un petit arbuste qui pique quand on a la malencontreuse idée de se frotter à lui!

 

Le cade ou genévrier est un petit arbre de nos régions méditerranéennes. Il peuple nos garrigues et nos maquis. Le cade est aussi appelé « Junipérus Oxycédrus ». Rassurez vous! Vous n’êtes pas dans l’émission silence çà pousse

Il a beaucoup de vertus! Il absorbe les mauvaise odeurs. Le feu de cade est bactéricide et purifie l’atmosphère ambiant. Il repousse les insectes et il dégage une bonne odeur de Provence!

C’est un anti-mites naturel et nous allons l’utiliser tel quel.

Les mites, on en a tou(te)s eu dans nos placards, nos armoires. Les mites ne sont pas une fatalité. Je mets en oeuvre un plan d’action contre les mites au logis dans ce billet.

J’ai récolté des branches de cade de 6 à 7 cm de diamètre et j’ai emporté ma trouvaille dans mon garage. Là, m’attendait mon « bricoleur adoré » qui m’a découpé des tranches de 6 à 7 mm d’épaisseur à la scie circulaire mais une scie à main pourra faire l’affaire.

 

Je me suis munie d’une perceuse électrique et sur le haut de chaque tranche, j’ai percé un trou.

 

Vous me direz pourquoi un trou? Parce que mon idée est de les pendre dans les placards ou se trouvent les vêtements. Vous pouvez aussi, placer vos tranches dans vos placards alimentaires pour éloigner les insectes.

 

Après un rapide tour de mon atelier, je récupère des cordons, des rubans. Je les fais passer dans les trous de mes tranches de bois.

 

Je fais un joli nœud avec mon ruban dentelle sur le haut du bois.

 

Puis un double nœud pour éviter qu’il s’ouvre.

 

Je laisse une longueur pour les pendre entre les vêtements.

 

Je passe au second et ainsi de suite.

 

Pour aboutir à une colonie de tranches de Cade.

 

Voilà mon anti-mites naturel prêt à l’emploi! Il assainit l’air de notre intérieur tout en repoussant ces papillons et ces larves.  Si son parfum n’est plus perceptible, on peut frotter le morceau de bois avec le dos d’une éponge.

En pratique, si vous n’avez pas de Cade sous la main, vous pouvez acheter des morceaux, des copeaux dans les magasins Bio. Tout simplement, le remplacer par des morceaux de Cèdres.

Les anciennes croyances prêtaient au Cade de nombreuses vertus dont celles de repousser les sorcières et protéger du mauvais œil.

Je suis adepte des idées simples et naturelles pour combattre les petits maux de la vie courante et vous quelles sont vos « astuces de Grand Mère »?

Je vous laisse sur ce Jeanne Bavarde et vous donne rendez vous, la semaine prochaine. Je n’ai pas encore la moindre idée, à l’heure ou je vous écris, de ce que sera le prochain article.

Tous les jours, vous pouvez suivre l’actualité de Jeanne s’amuse sur sa page Facebook.

Une nouvelle démarque pour les soldes sur la e-boutique.

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#Jeanne Bavarde ou comment se fabriquer une table basse soi même

Bonjour à vous tou(te)s !

 

Aujourd’hui, je vous propose un nouveau numéro de #Jeanne bavarde ! 

Cette catégorie me permet de vous parler un peu plus de mes envies, de mes choix, de vous dévoiler chers lecteurs et chères lectrices mon univers.

Pour résumer, cette semaine je ne « bidouille » pas, je vais « Bricoler » de chez « Bricolage« 

Quand je dis : « Je » Je dois être honnête et vous dévoiler la vérité. Je ne suis qu’une seconde main. Celui qui bricole et même très bien, c’est mon « Chéri-chéri ». Moi, je m’évertue à trouver les idées et à seconder l’artiste. Alors là, cela me plait de dénicher sur internet et en particulier sur Pinterest des images, des infos.

Je trouvais depuis longtemps, très longtemps ma table de salon « tristounette ». Je désirais un mariage de fer et de bois pour donner une touche industrielle.

J’ai soumis mon idée à mon double adoré et nous voila partis dans une nouvelle création. J’insiste sur le mot création parce que ce n’est pas un de mes petits bidouillages mais la fabrication d’une table basse en style industriel qui demande un niveau « Expert ».

Ils nous a fallu trouver dans les magasins de Bricolage des planches de coffrage pour le plateau de la table, des tubes carrés en fer pour la structure, du contreplaqué pour les tiroirs, des vis, des profilés en L pour tenir le plateau, des poignées demie-lune acier. Bref tout le matériel nécessaire. En plus qu’il est bricoleur, il sait souder! J’ai trouvé la perle!

Zoom sur le cadre de la table

Vous remarquez que chaque carré de fer est soudé pour constituer la structure. Les tubes carrés choisis pour les pieds font 30*30 mm. Il faut en avoir 2 mètres environ. Pour la structure du plateau, il vous faudra du profilé en L 30 mm de hauteur, 40 mm de long et 30 mm d’épaisseur. On aperçoit sur le devant des logements vides qui supporteront les tiroirs. Je vous donne les dimensions intérieures de ces logements : Largeur 54 cm et hauteur 10 cm.

 

Pour que les planches de coffrage qui constitueront le plateau de la table, soient posées. Il nous faut réaliser un fond en bois aggloméré qui sera inséré dans les profilés cités plus haut. Ce fond aura les dimensions suivantes 112 cm de long et 52 cm de large. 

 

Maintenant que le plateau de support est terminé, nous posons les planches de coffrage de 27 mm et nous prenons soin de les visser en faisant passer les vis dessous et non pas dessus. Il ne faut pas les voir. Pour choisir vos vis, il ne faut pas perdre de vue qu’il ne doivent pas transpercer le plateau d’aggloméré et les planches de coffrage et donc avoir une longueur de 40 mm.

 

Maintenant, nous passons à la phase ponçage du plateau en planches.

 

Le ponçage est terminé, le rendu est doux et lisse au touché.

 

Nous nous attaquons à la conception des logements tiroirs en contreplaqué de 10 mm d’épaisseur. Les dimensions des logements ont été citées plus haut.

 

Les tiroirs, eux mêmes, sont en contreplaqué et la façade en pin de 27 mm d’épaisseur. J’ai choisi des poignées demie-lune en acier pour la finition.

 

Maintenant, je suis fière de ma table basse.

Et voilà! Le rendu Final, en position table de salon esprit industriel!

 

Je suis hyper contente de notre travail!

Une précision supplémentaire : les dimensions de la table sont 50 cm de haut, 120 cm de long et 60 cm de large. Vous pouvez vous apercevoir que chez nous, on évite de rester statique. Nous changeons, bougeons, recyclons très souvent même constamment. Il nous faut toujours un air nouveau!

J’espère que ce #Jeannebavarde vous aura intéressé. J’aime vous livrer dans cette catégories mes goûts, mes idées.

Je vous souhaite une bonne semaine et vous donne rendez vous pour une nouvelle fois !

A bientôt!

 

Je vous retrouve si vous le désirez tous les jours sur ma page Facebook

C’est encore les soldes dans ma e-boutique !

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#JeanneBavarde : mes pires moments DIY!

Bonjour, bonjour!

Aujourd’hui je suis d’humeur joyeuse. Même si l’été touche bientôt à sa fin, je me satisfais du thermomètre affichant des températures plus douces 🙂

En réfléchissant au billet que j’allais vous écrire, je me suis dit que cela vous changerait de parler un peu des…pires moments DIY! En effet, on parle toujours sur ce blog de tutos, de créations ou d’instants créatifs (plutôt) réussis. Place un peu à l’ordinaire de ce monde et à ses loupés : qui n’a pas connu des doigts plein de colle, des réalisations affreuses, des moments coutures ratés? On peut aussi tous les connaître à la fois 😉 De mon côté, je mesure le risque en ne me lançant que dans une aventure à la fois!

 

Venons en à l’objet du crime : le collier en corde nylon.

Sur le moment, je m’étais dit que l’idée était bonne mais conceptuelle – comme quoi il faudrait toujours écouter la petite voix qui nous dit « non!!! ». J’avais vu sur Pinterest divers créations avec photos très alléchantes de bijoux en cordes nylon. Et là, dans un grand élan, j’avais coupé ces malheureuses cordes, croyant, vraiment, que le résultat allait être là. Que nenni, nous voilà avec un collier qui ressemble davantage à un pour vache ou à un objet réalisé non identifié…

 

Objet de comparaison : le collier pour vache

Si vous aimez les colliers suisse pour nos amies les vaches, je vous donne l’article explicatif allant avec la photo ci-dessus . Étrange ressemblance non?

 

Ce qu’on aurait pu réaliser

Pour finir dans l’autodérision, je vous montre quelques réalisations toutes jolies et défendant la cause, mieux que moi, de la corde nylon :

  • un collier en fine corde nylon et perles bois aux inspirations ethniques à retrouver sur le site Una
  • les créations de meethecat sur Etsy ou encore celles de la créatrice Céline h2O

Pour aujourd’hui, j’arrête ici la honte créative. Et vous, quels sont vos pires moments créatifs? Pour les prochains billets, écrivez-moi pour raconter vos mésaventures dans la joie et la bonne humeur.

A très bientôt!

 

 

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#JeanneBavarde : DIY et Upcycling font bon ménage dans notre quotidien

Bonjour à tous(tes),

Aujourd’hui pour notre rendez-vous hebdomadaire, j’ai envie de vous partager un peu de notre mode de vie. Nous sommes une famille « bricolo ». Dans la famille, on demande le père « super bricolo », le mère « bidouilleuse », la fille « couture et tendance » et même la grande-mère « peinture artistique ». Depuis toujours nous pratiquons la « récup ».

Donc au fond, notre philosophie de tous les jours est le Do it Yourself  avec un zeste de Upcycling. Mais à quoi renvoient ces deux termes Anglophones très présents et de plus en plus tendance?

L’Upcycling  met en application la célèbre maxime « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » d’Antoine Lavoisier.  C’est l’action de recycler les produits ou les matériaux qui arrivent en fin de vie pour les revaloriser, leur donner une seconde vie de qualité ou d’utilité supérieure. En conséquence, il ne faut pas le réduire à une simple méthode anti-gaspi : penser l’upcycling permet de développer une philosophie de vie responsable, plus respectueuse de son environnement.

Le DIY ou Do it yourself consiste à faire soi-même ses produits, ses objets etc. au lieu de les acheter « tout-fait ». Le Do it Yourself n’est pas seulement une mode que l’on pourrait voir dans tous les catalogues féminins. Il s’est développé au fils des années et trouve des influences dans divers mouvements tels que les punks, les castors et même chez les geeks ! On y reviendra dans un autre billet si cela vous intéresse.

Vous l’aurez deviné au travers de mes billets, ces deux mouvements me séduisent et m’ont permis, peu à peu, de repenser mon quotidien, ma consommation, voire même ma définition du bonheur.

Pour le plaisir, je vous mets mes dernières créations sur le thème :

  • une armoire du début du 20ème siècle en bois très foncé, qui traînait au fond d’un garage a été revisitée : Nous avons remplacé les vitres en devanture par des panneaux de bois collés. Un bon ponçage s’est imposé puis peinture avec cire pour la finition. Les rameaux d’olivier ont été au préalable dessinés avec l’aide d’un pochoir que vous pouvez trouver dans tous les magasins de bricolage. Puis nous avons fait appel au peintre de la famille pour donner vie aux olives et au feuillage.

 

  • que dire d’une commode, 4 tiroirs, trouvée au fond d’un grenier sous un enchevêtrement de bric à brac. Cependant elle était en bois très foncé, comme nos ancêtres les aimaient au début du siècle dernier…  Il a fallu un bon décapage dès lors que notre chère commode, bien qu’en bois noble (noyer), n’en était pas moins très vernie ! Après la phase de décapage, nous avons eu une mauvaise surprise: le bois était très abîmé et consolidé avec clous et tiges métalliques. On a décidé de quant même la garder et de la moderniser lui donnant une patine (grâce à une peinture bois claire, très claire et une cire). Aujourd’hui, elle trône fièrement dans la véranda. L’aloé véra, sur son dessus, se porte à ravir et ne cesse de grandir. Bientôt, il va falloir lui trouver une autre place, ou faire du Diy ou  Upcycling avec lui aussi. Avez vous des idées?

  • notre recyclage ne s’arrête pas là ! Le jardin a aussi subit la tendance Upcycling . Dans notre version récupération de palettes nous citons : notre potager et notre barrière et son portillon
  • pour prendre soin des insectes, rien de tel qu’un hôtel  à insectes
  • Comment apporter de la verdure dans un coin du jardin qui ne reçoit pas les rayons du soleil ?  Et oui ! Cela existe même dans le sud de la France. Le choix des plantes, c’est imposé tout seul : le Lierre. Après avoir récupéré des fûts en bois, en fin de vie, chez un ami viticulteur, les avoir coupé en deux, le lierre a pu rejoindre son nouveau pot de fleur.

  • qui dit Jardin, terrasse, dit également coin repas et coin détente. Notre terrasse ombragée a été embellie par les suspensions plantes en macramé
  • Pour notre petit coin repas quoi de mieux que des tabourets hauts dénichés au vide grenier du coin avec 3 euros et six sous. La table a été confectionnée par « super bricolo » avec des matériaux de récupération.  Qu’est ce qui se cache dans le pied central de la table? Une découpe de vieille poutre de cheminée. Sur la table, j’ai choisi des carreaux de Salernes en Provence . Pour l’occasion, j’avais trouvé des carreaux déclassés avec de légers défauts en lot donc beaucoup moins onéreux.

Vous constaterez comme moi que dans notre société ou la notion d’environnement prend tout son sens, upcycler, recycler est un réel choix de vie, écologique et économique. De nombreux artistes se sont d’ailleurs emparés de cette tendance pour créer leurs œuvres.

L’upcycling et le Diy nous promettent de beaux jours pour nos produits, nos matériaux qui arrivent en fin de vie en leur offrant une seconde vie et quelle vie !

Et si on se mettait à rêver ! Un monde sans déchets d’ici quelques années….

J’espère que mon billet aura retenu votre attention et je vous dis…. à la semaine prochaine!

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#JeanneBavarde : mon enclos secret en palettes

Il fait chaud et je suis sagement assise devant mon ordinateur en train de vous écrire ce nouveau Jeanne Bavarde.

De mon bureau, je suis protégée du soleil de l’été par une épaisse vigne vierge que j’ai laissé pousser au-dessus de la baie vitrée. Bien que la baie m’offre une vue imprenable sur mon cher jardin, je recherchais à m’isoler des regards.

Mais le mot d’ordre, comme d’habitude, était de faire sans acheter : la récup’ oui mais le do it yourself surtout! J’ai donc opté pour une barrière et un petit portail de jardin avec des palettes récupérées.

Ce n’est pas tout, il faut commencer à s’y mettre !

Commençons par trier nos planches, une à une de la palette. Enlevons tous les clous et vérifions la solidité de chaque planche pour ne garder que les meilleures.

 

Il faut par la suite poncer chaque planche afin de faire disparaître les échardes et défauts. Je préfère travailler à bonne hauteur sur une table sur tréteaux.

 

Le bout de chaque planche peut être taillé en forme de toit. J’ai cependant opté pour un bout arrondi dans la douceur. Vous pouvez remarquer par le tas de sciure, le travail assidu de ponçage effectué 😉

 

Une fois les planches assemblées pour former la barrière, un petit essai surplace s’impose pour vérifier les dimensions.

 

Un ajustage des longueurs est obligatoire pour épouser les courbes du terrain.

 

Maintenant, peinture et protection du bois s’imposent.

 

Voilà le travail fini ! Clôture et portillon pour vous guider jusqu’au potager qui accueille tomates, radis, salades, courgettes, oignons.

 

Qu’en pensez-vous ?

Vous pouvez aussi personnalisé votre barrière afin de créer votre « petit coin » en utilisant des branches de bois mort glanés en forêt ou d’en l’eau, des rondins de bois, du bambou, des troncs d’arbre, des tiges tressées.

Pour vous aider, si vous décider d’opter pour les branches de bois mort, je vous indique mon billet sur le nettoyage des branches récoltées —> ici

 

Pour revoir mes anciens billets « tout en palettes » :

Dans mes précédents Jeanne bavarde, je vous expliquais comment avec de la récupération, nous avions réalisé un fauteuil de jardin  ; 

Ou encore, comment créer un petit potager en palettes.

A très bientôt pour un nouveau Jeanne Bavarde!